mardi 17 octobre 2017

Guidé par l'étoile du berger






Votation du 9 février, et après ?


Mille sept sans resociabilise la rue


Le basket à l'heure des revendications


Sortir de la poudreuse


La quête de la "zone"


Fond comme volts au soleil


A chacun sa dose


Elle a les yeux revolver


Art et drogue, le paradis artificiel


lundi 16 octobre 2017

Que signifie digital natives et en quoi est-ce important à prendre en compte pour les médias ?


Les digital natives sont les personnes qui ont donc grandi dans un environnement où le numérique est très présent. Cette génération entretient donc un rapport différent à l’information, notamment sous ces 3 aspects :

  • L’information est remise en doute : les digital natives ont appris à se douter de tout ce qu’ils trouvent sur le web. Le statut de journaliste revêt à cet égard une preuve de légitimité importante, puisque le journaliste est obligé de vérifier ses propos et ses sources. Cela doit pousser les journaux à miser sur leur plus-value de fiabilité de l’information. 


  • L’information doit être attractive : les digital natives baignent dans les vidéos, musiques et autres graphismes dynamiques. L’écrit brut leur apparaît quelque peu rébarbatif face aux supports ne nécessitant pas d’efforts de lecture. Il s’agit donc pour les journaux d’aller droit à l’information (notamment les 5W), de la structurer et de développer d’autres ressources que l’écrit (vidéos et photos surtout). De plus, il est bon de répartir plusieurs entrées dans l’article, ce qui permet au lecteur de sélectionner l’information vers laquelle il veut aller.

  • L’information doit être interactive : la particularité des nouveaux supports est qu’ils métamorphosent la posture du lectorat. Celui-ci était assimilé à une masse informe, il est désormais individualisé. La localisation, les centres d’intérêts et les habitudes de lectures de chaque lecteur sont autant de paramètres qui désormais peuvent être pris en compte. Il s’agit donc pour le journaliste de modifier ses contenus selon la lecture qui en est faite, mais également de lancer une démarche participative. Le lecteur a la place de s’exprimer dans les commentaires (qui doivent être modérés), et le journaliste doit dans la mesure du possible entretenir un rapport personnel avec lui, en faisant du métajournalisme (montrer les dessous de la rédaction sur les réseaux sociaux par exemple) ou en allant à sa rencontre.

Trois quarts des suisses écoutent encore des CDs

Les supports numériques de musique en pleine expansion, mais le physique reste répandu


MUSIQUE – Selon l’enquête 2014 de l’OFS, la radio demeure le support le plus répandu d’écoute musicale tandis que les CDs sont encore utilisés par 75% des suisses. L’écoute en streaming est quant à elle répandue chez 55% de la population.

Ce ne sont pas moins de 95% des suisses qui écoutent de la musique dans un cadre privé. Sur ce marché fécond, la radio se taille toujours la part du lion, avec plus de 90% de la musique écoutée. Cette prépondérance s’explique notamment par l’écoute de la radio dans les véhicules.

A l’heure du numérique, le CD demeure lui le support d’écoute sélective le plus utilisé. Il est tout de même en recul de 14% depuis l’enquête de 2008. Autre changement : le téléphone a dépassé le mp3. Une avancée qui s’explique par l’avènement des smartphones et leurs services de streaming notamment.

Les genres musicaux les plus populaires sont la pop, le rock, le hard rock, le métal ou le punk, réunis dans une même catégorie par l’Office de la Statistique. Vient ensuite la musique classique (en comptant l’opéra et l’opérette). Si la troisième place est occupée par les genres nés outre-Atlantique (Jazz, country, soul, etc.), la musique suisse traditionnelle est bel et bien le quatrième genre le plus écouté du pays.